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Le sport est la clé de la longévité

Et si la véritable clé pour vivre plus longtemps et en meilleure santé ne se trouvait pas dans un médicament, mais dans un geste simple et accessible à tous : bouger ? Pour Mountassir Bouhadba, entrepreneur du sport et fondateur de Gigafit, l’activité physique est bien plus qu’un loisir : c’est un outil puissant de prévention et un pilier essentiel de la longévité. Dans cet entretien, il revient sur l’importance du sport au quotidien, loin de la recherche de performance, et partage sa vision d’un équilibre global entre corps et esprit.


-Monsieur Bouhadba, vous parlez souvent du sport comme d’un pilier du bien-être. Quel rôle joue-t-il dans la longévité ?

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-Le sport est sans doute l’un des outils les plus puissants pour vivre longtemps et surtout bien vieillir. La longévité ne se mesure pas uniquement en nombre d’années, mais aussi en qualité de vie. Ce que nous cherchons tous, c’est rester actifs, autonomes et en bonne santé le plus longtemps possible.

L’activité physique régulière agit directement sur la prévention des maladies chroniques, le maintien de la masse musculaire, la mobilité articulaire et même sur la santé mentale.


-Peut-on dire que l’activité physique est une « médecine préventive » ?


-Tout à fait. Les études sont unanimes : une pratique sportive régulière réduit drastiquement les risques de diabète, de maladies cardiovasculaires, d’hypertension ou encore de certains cancers. Elle améliore aussi la mémoire et diminue le risque de dépression.

En clair, c’est le meilleur traitement préventif que nous ayons, et il est accessible à tous. Je considère le sport comme une ordonnance naturelle : pas d’effets secondaires, mais des bénéfices durables.

-Mais beaucoup de gens associent encore sport et performance. Comment changer cette perception ?


-C’est un point essentiel. On ne fait pas du sport uniquement pour courir un marathon ou soulever des charges impressionnantes.

Le sport pour la longévité, c’est l’activité régulière, modérée et adaptée. Marcher 30 minutes par jour, pratiquer du renforcement léger, nager, faire du yoga, ce sont déjà des gestes puissants pour préserver sa santé.

La performance, c’est une option, mais la longévité, c’est une nécessité. Notre mission chez Gigafit est de rappeler que chaque mouvement compte et que chacun peut trouver une pratique qui lui correspond.


-À partir de quel âge est-il important de se préoccuper de l’impact du sport sur la longévité ?


-Dès l’enfance. Plus tôt on adopte un mode de vie actif, plus les bénéfices se cumulent sur la durée. Mais il n’est jamais trop tard.

Même à 60 ou 70 ans, reprendre une activité physique régulière améliore considérablement l’espérance de vie et réduit les risques de dépendance. Ce qui compte, ce n’est pas l’âge de départ, mais la régularité et l’adaptation.

Le corps humain est une machine extraordinaire qui peut se renforcer à tout moment si on lui donne les bons stimuli.


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-Vous évoquez aussi beaucoup l’équilibre entre corps et esprit. En quoi le sport contribue-t-il à la longévité mentale ?


-La longévité, ce n’est pas seulement physique, c’est aussi psychologique. Le sport stimule la sécrétion d’endorphines et de dopamine, les hormones du bien-être.

Il améliore la qualité du sommeil, réduit le stress et aide à lutter contre l’anxiété. De plus, pratiquer une activité physique dans un cadre collectif, comme une salle ou un club, crée du lien social.

Or, on sait que l’isolement est l’un des plus grands ennemis de la longévité. Rester actif, c’est aussi rester connecté aux autres.


-En tant qu’entrepreneur du sport, comment intégrez-vous cette vision dans vos clubs Gigafit ?


-Nous avons conçu nos clubs comme de véritables espaces de vie. Il ne s’agit pas seulement d’avoir des machines performantes, mais de créer des environnements qui favorisent la santé sur le long terme.


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Cela passe par des programmes adaptés à tous les âges, des coachs qui savent personnaliser l’accompagnement, des cours collectifs variés, mais aussi des espaces de détente, de nutrition et de récupération.

Notre objectif est de permettre à chacun, quel que soit son âge, de trouver une pratique durable qui l’accompagne tout au long de sa vie.


-Vous parlez de nutrition et de récupération. Sont-elles aussi importantes que le sport pour la longévité ?


-Elles sont indissociables. On ne peut pas parler de longévité sans aborder l’alimentation et le repos.

Le sport est le moteur, mais la nutrition est le carburant et le sommeil la réparation. Une alimentation équilibrée, riche en nutriments essentiels, associée à une bonne hydratation et à une récupération de qualité, multiplie les effets positifs du sport.

Ce triptyque – sport, nutrition, sommeil – est la formule gagnante pour une vie longue et en bonne santé.


-La France est-elle en retard sur ce sujet par rapport à d’autres pays ?


-La France progresse, mais nous avons encore un chemin à parcourir. Dans certaines cultures, notamment en Asie, l’activité physique est intégrée au quotidien des seniors : tai-chi dans les parcs, marche en groupe, gymnastique douce.

En France, la pratique sportive reste trop souvent associée aux jeunes et aux sportifs confirmés. Il faut briser ce cliché et montrer que le sport appartient à toutes les générations.

L’idée de « bien vieillir » doit devenir une ambition nationale, et le sport doit en être le levier principal.


-Avec l’allongement de l’espérance de vie, pensez-vous que le sport sera un facteur clé des politiques publiques à venir ?


-Il le doit. Nous vivons plus longtemps, mais la vraie question est : vivons-nous mieux ?

Aujourd’hui, beaucoup de personnes passent les dix ou quinze dernières années de leur vie avec des limitations physiques ou des pathologies lourdes. Le sport peut inverser cette tendance.

Si l’on investit massivement dans la promotion de l’activité physique, on réduit la dépendance, on allège le système de santé et on améliore la qualité de vie des citoyens. C’est un enjeu de société autant que de santé publique.


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-Vous qui avez une vision internationale, voyez-vous des tendances émerger autour du sport et de la longévité ?


-Oui, de plus en plus de programmes associent fitness, méditation, nutrition et technologies de suivi pour accompagner les individus dans leur quête de longévité.

On voit aussi apparaître des clubs hybrides qui mélangent sport, bien-être et médecine préventive. La tendance de fond, c’est l’intégration : on ne pense plus le sport seul, mais comme partie d’un écosystème de santé globale.

C’est une orientation que nous développons aussi, avec Gigafit, en travaillant sur des concepts qui associent sport, lifestyle et bien-être complet.


-Si vous deviez donner trois conseils simples à une personne qui souhaite vivre longtemps grâce au sport, quels seraient-ils ?


-Premièrement, bouger tous les jours, même un peu. La régularité prime sur l’intensité.

Deuxièmement, trouver une activité qui procure du plaisir, car c’est la clé de la durée.

Troisièmement, ne pas négliger l’équilibre global : bien manger, bien dormir et cultiver des relations sociales positives.

La longévité, ce n’est pas une quête individuelle mais un style de vie qui se construit pas à pas.


-Un dernier mot ?


-Le sport est bien plus qu’un outil pour sculpter son corps, c’est une arme puissante pour prolonger et enrichir sa vie.

J’aimerais que chaque Français comprenne que l’activité physique régulière est un héritage que l’on offre à soi-même et à ses proches : plus d’énergie, plus de vitalité et surtout plus de temps de qualité.

La longévité n’est pas un hasard, c’est un choix.

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